Quels sont les vices cachés qui peuvent être présents dans votre maison ?
Lors d’une acquisition immobilière, on se retrouve parfois avec de mauvaises surprises. Celles-ci, aussi appelées vices cachés, peuvent détériorer le logement, mais surtout lui faire perdre de la valeur. Dans le domaine immobilier, ces défauts qui peuvent être cachés ou simplement masqués sont la crainte de la plupart des acheteurs. En effet, une découverte avant l’achat peut totalement remettre en question la vente.
Le principe des vices cachés
Par définition, un vice caché est un problème existant avant une vente dont le propriétaire a connaissance la majorité du temps, bien que cela puisse ne pas être le cas. Ces défauts ne sont pas visibles lors d’une simple visite ou inspection. Ces derniers peuvent entraîner une moins-value de l’habitation ou pire rendre le logement inhabitable selon la gravité de ceux-ci. En général, cela relève de la mauvaise foi du vendeur.
Les vices cachés d’une maison
Une maison peut avoir des malfaçons que l’on ne soupçonne pas, car ils ne sont pas visibles au premier abord. Ces dernières, dont on se rend compte après avoir acquis le bien, sont constatées après une expertise ou une étude technique. Certaines peuvent rendre le bien inhabitable. Les plus fréquentes sont bien évidemment les problèmes de moisissures, dus à l’humidité ou bien des fondations fissurées. Un mauvais entretien du bâtiment peut être en cause de cela.
D’autres vices encore plus graves sont également très courants, comme des défauts de charpente, ce qui peut entraîner un effondrement. La pollution des sols et l’infestation de thermites peuvent aussi être considérées comme des vices cachés. Certains sont tout simplement masqués par un meuble.
Agir contre les vices cachés
Légalement, une garantie des vices cachés existe, sauf clause indiquant le contraire sur le contrat de vente. Premièrement, une expertise est indispensable afin de faire constater ces vices cachés par un professionnel tel que BTG Expertises. Dans un second temps, il est important de prouver la mauvaise foi du vendeur. Pour cela, des témoignages peuvent être recueillis auprès des voisins. Ces derniers ont déjà pu remarquer des inondations régulières par exemple. Par la suite, le Tribunal de Grande Instance doit être saisi. En fonction de la demande de l’acquéreur, un arrangement à l’amiable est une éventualité. Sinon, le tribunal peut décider d’une annulation de la transaction si les dégâts sont irréparables. Un dédommagement peut être versé, équivalent à la réduction du prix de vente du logement. L’ultime solution est d’estimer le prix des réparations et le versement de la somme équivalente.
N’hésitez pas à faire appel aux services de BTG Expertises pour une expertises en vice cachés
